--> critique originale
Le Disque du jour
(...) Cet album assez fabuleux s’ouvre par la Grande Fugue comme Beethoven l’a transcrite pour son instrument, œuvre inextinguible où Koroliov retrouve Ljupka Hadzi-Georgieva : lecture aux escarpements dantesques.
Prise de son sublime, comme toujours chez Tacet, l’un des rares éditeurs phonographiques qui sache enregistrer le piano.
Jean-Charles Hoffelé
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Le Disque du jour
(...) Cet album assez fabuleux s’ouvre par la Grande Fugue comme Beethoven l’a transcrite pour son instrument, œuvre inextinguible où Koroliov retrouve Ljupka Hadzi-Georgieva : lecture aux escarpements dantesques.
Prise de son sublime, comme toujours chez Tacet, l’un des rares éditeurs phonographiques qui sache enregistrer le piano.
Jean-Charles Hoffelé
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